Limit this search to....

A la hussarde
Contributor(s): O'Monroy, Richard (Author)
ISBN: 1511566477     ISBN-13: 9781511566476
Publisher: Createspace Independent Publishing Platform
OUR PRICE:   $16.05  
Product Type: Paperback
Language: French
Published: April 2015
Qty:
Additional Information
BISAC Categories:
- Literary Collections | European - French
Physical Information: 0.49" H x 6" W x 9" (0.70 lbs) 234 pages
 
Descriptions, Reviews, Etc.
Publisher Description:
Extrait UNE PAGE D'AMOUR I La deuxi me colonne du 30e dragons, colonne dans laquelle se trouvait l'escadron du beau Pouraille, venait, trompettes en t te, d'entrer Marlotte. Direction: les grandes manoeuvres. On tait encore dans tout le tohu-bohu de l'arriv e. Sur la grande place, clair e par un beau soleil, le capitaine charg du logement expliquait au colonel ravi tous les agr ments du petit village de Marlotte, endroit ravissant entour de sites pittoresques, rempli de peintres ayant amen avec eux joyeuse soci t . Ce qui permettait d'esp rer bon souper, bon g te... et peut- tre le reste. Le colonel, du haut de son cheval, coutait avec un air de satisfaction profonde, et jetait un regard distrait sur le papier o tait consign le prix du lard. Pendant ce temps les fourriers affair s, leurs billets de logement la main, couraient de l'un l'autre ne pouvant r pondre la fois toutes les questions: Suis-je bien log ? Mes chevaux sont-ils avec moi? Combien ai-je d' curies pour mon peloton? Toujours chez le cur Chez monsieur le maire - Que le diable vous emporte etc., etc. Enfin l' parpillement se fit graduellement; les dragons mirent pied terre avec un grand bruit de bottes, d' perons et de sabres tra nant sur le pav , puis chacun, d'un pas alourdi, se dirigea vers son g te en tenant son cheval par la bride. Devant la grande porte de l'h tel il ne resta bient t plus que le colonel et le capitaine Pouraille donnant des ordres son mar chal des logis chef. L'h tel tait tr s pittoresque avec son enseigne du Lapin qui se rebiffe, tableau bizarre repr sentant un lapin tenant en respect un gros cuisinier tr s p le. Aux fen tres mi-closes, derri re les persiennes vertes, apparaissaient de petites t tes bouriff es, vu l'heure matinale, et qui devaient sans aucun doute appartenir aux compagnes plus ou moins l gitimes de MM, les peintres.