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Les mémoires d´un fou
Contributor(s): Viardot, Louis (Translator), Longa, Alba (Editor), Gogol, Nikolai (Author)
ISBN: 1721845593     ISBN-13: 9781721845590
Publisher: Createspace Independent Publishing Platform
OUR PRICE:   $7.13  
Product Type: Paperback - Other Formats
Language: French
Published: June 2018
Qty:
Additional Information
BISAC Categories:
- Fiction | Short Stories (single Author)
Physical Information: 0.07" H x 5.98" W x 9.02" (0.13 lbs) 34 pages
 
Descriptions, Reviews, Etc.
Publisher Description:
Nikola Vassili vitch Gogol-Ianovski est n le 19 mars 1809, au domaine de Vassilievka, pr s de Sorotchintsy, district de Mirgorod, province de Poltava. Il appartenait une famille de petits propri taires ruraux, attach s aux moeurs patriarcales que toute sa vie il affectionnera. Son p re, qui avait l'humeur gaie et se piquait de litt rature, composait des com dies l g res pour le th tre d'amateurs de son riche voisin et parent loign , D. P. Trostchinski, haut dignitaire sous Catherine, Paul et Alexandre. L'ancien ministre faisait figure de m c ne; les f tes qu'il donnait dans sa splendide r sidence de Kibentsy semblent avoir vivement impressionn le jeune Gogol: on en retrouve l' cho dans les mes Mortes. En 1821, gr ce la protection de Trostchinski, il entre comme pensionnaire au coll ge de Ni jine, petite ville de la province de Tchernigov, o les lib ralit s posthumes d'un autre parvenu petit-russien, le prince A. Bezborodko, avaient cr un tablissement d'enseignement appel devenir, sous le titre (rare en Russie) de lyc e, une sorte d'universit . Pour le moment, ce n' tait encore qu'un modeste gymnase. Gogol y resta jusqu'en 1828. l ve m diocre, plus qu' la salle d' tudes il se montre assidu la salle de spectacle: il monte des pi ces, griffonne des sc narios, se r v le acteur accompli. En 1831, il s'est li avec le critique Pletniov, qui le met en relations avec les po tes Joukovski et Pouchkine; celui-ci exercera sur lui une forte influence et lui fera vraiment prendre conscience de son talent. Tous deux l'introduisirent chez madame Smirnov, tr s grande dame, protectrice attitr e des crivains, qui lui rendra plus d'un service et ne sera pas la derni re le pousser dans la voie mystique. Le 7 octobre 1835, Gogol crit Pouchkine: J'ai commenc d' crire les mes Mortes. Le sujet donnera un tr s long roman qui sera, je crois, tr s amusant. Je suis arr t au troisi me chapitre. Je cherche un bon homme de loi, avec qui je puisse me lier. Je veux, dans ce roman, faire voir toute la Russie, ne f t-ce que d'un seul c t . Je vous en prie, donnez-moi un sujet quelconque, amusant ou triste, mais purement russe. La main me d mange d' crire en m me temps une com die. Les mes Mortes seront dor navant la grande pens e de Gogol. Durant ces ann es, il est vrai, il revoit Tarass Boulba, en lui donnant une note la Walter Scott; il termine Le Manteau, retouche son th tre, refond Le Portrait, commence une nouvelle: Rome, demeur e inachev e, m dite m me d'autres ouvrages. Mais ce ne sont l que des r pits dans la grave ascension qu'il s'est impos e.